Les 10 meilleurs livres sur Madagascar
Madagascar

Madagascar se dévoile dans toute sa diversité et sa singulière beauté. Madagascar. L’île rouge, l’île continent. Mais aussi l’île mosaïque. Ce fragment d’Afrique jeté dans l’océan Indien est un patchwork d’ethnies, de cultures, de régions et d’écosystèmes. Au fil de ses voyages sur cette terre qui l’a littéralement happé, le photographe Lionel Montico a découvert une nature foisonnante, un endémisme exceptionnel, des rites ancestraux, mais aussi un peuple profondément attachant. À travers le prisme de son regard et de ses souvenirs émus sous la plume de Marie Paturel, Madagascar se dévoile dans toute sa diversité et sa singulière beauté.
Madagascar 9ed

Lonely Planet : un guide de référence, à la fois pratique et culturel, pour un séjour inoubliable à Madagascar Un aperçu en couleurs et en photos des meilleures expériences d'un voyage à Madagascar : les rizières du pays Betsileo, la RN7, l'allée des Baobabs, la vallée du Tsaranoro, les formations rocheuses des tsingy de Bemaraha, l'île Sainte-Marie, les taxibrousse, les marchés, le Grand Sud... Une sélection thématique pour organiser un voyage en phase avec ses envies : sites naturels, culture, vie sauvage, plages... Des focus sur la faune et la flore du pays et sur la cuisine malgache, métissage original entre Asie et Afrique. Des suggestions très pratiques d'itinéraires pour découvrir le meilleur du pays, quel que soit le temps ou le budget disponible. Une couverture élargie des options de logement et de restauration dans le pays. Toutes les informations pratiques pour préparer son voyage et éviter les casse-tête : les moyens de transport, l'hébergement pour tous les budgets, la sécurité, les conseils pour bien dépenser son argent...
Madagascar

Ce guide répond à trois objectifs : informer, illustrer et guider. Plus de vingt auteurs, photographes, journalistes ou grands voyageurs ont collaboré à ce volume pour vous offrir le guide le plus exhaustif, un récit vivant où anecdotes historiques, tableaux pittoresques et renseignements pratiques se succèdent et se complètent. Histoire & Société : Terre déracinée de l'Inde, partie à la dérive pendant 90 millions d'années pour se poser au large du Mozambique ; colonisée par les radeaux végétaux et les prosimiens (ancêtres des lémuriens) ; découverte il y a 2500 ans par les Indonésiens ; colonisée par les Bantous, les Arabes et les Somaliens ; inventoriée par le Portugais Diogo Dias ; organisée par Ralambo, fondateur du royaume de l'Imerina ; assujettie pendant plus de 60 ans par la France ; émancipée par le président Philibert Tsiranana en 1960... Madagascar vous dévoilera un peuple hospitalier, fier de partager une culture commune pétrie d'énigmatiques fady (tabous) ! Itinéraires : De l'impressionnant Rova d'Antananarivo, symbole de l'Imerina, à la ravissante Toliara, ville de bord de mer aux charmes Art déco surannés ; de la majestueuse allée de Baobabs, classée monument national, au tsingy de Bemaraha, spectaculaire forêt d'arêtes karstiques acérées ; du grandiose parc national Isolo, le Colorado malgache peuplé de makis et autres lémuriens, à la presqu'île de Sarodrano, magnifique dune de sable blanc s'étirant entre mangrove et récif corallien ; de la ravissante Nosy Be, destination balnéaire par excellence, à Nosy Bohara, ancien repaire des forbans britanniques... les passionnés de faune, les férus de paysages sauvages et les entichés d'histoire et de culture s'émerveilleront devant les inestimables trésors de l'île Rouge. Carnet Pratique : Trente pages pour tout savoir sur les formalités, les transports, le logement, la restauration, ta culture, les sports et les loisirs, etc.
Les chemins de l'école. Francklyn Madagascar

Après avoir rencontré les quatre enfants du documentaire de 2014, nous faisons connaissance avec quatre autres enfants du monde qui ont en commun de vivre une aventure chaque matin en allant à l'école... C'est au Sud de Madagascar, dans le village d'Andranotakatse, que les deux jeunes frères Francklyn et Olivier parcourent chaque dimanche matin 20 kilomètres de marche pour accéder à leur école. Durant la semaine, les deux frères vivent seuls, loin de leur famille, en totale autonomie. Cette lutte pour l'éducation, déjà commencée par leur père, leur donne l'espoir d'un avenir meilleur où il ne sera pas forcément question de devenir, pour construire leur vie, un éleveur de zebu comme il l'est de coutume chez les Malgaches.
Le Grand Livre des Epaves de Madagascar

Jamais un livre n'avait été écrit sur les épaves qui entourent la Grande Île et, Dieu !, qu'elles sont nombreuses. Pierre van den Boogaerde en a recensé 269... De toutes les époques, de toutes les nationalités, certaines localisées, d'autres pas. De plus, la bibliographie est un modèle : une mine pour les chercheurs, un filon pour les rêveurs !
Douze lunes à Madagascar: Carnets de vagabondages

Lors de ses voyages et vagabondages sur la grande île de Madagascar, Geneviève Marot a pu remplir de nombreux carnets illustrant les scènes qui s'y déroulent, bien loin du tumulte des centres urbains. Du nord au sud, les vies se croisent, animées par le rythme des saisons et les coutumes ancestrales. Dans les villages et jusqu'aux campagnes les plus reculées, l'auteur fait des rencontres inattendues et touchantes qui la marqueront et laisseront leurs empreintes sur les carnets qui l'accompagnent. Reportage dessiné, carnet de route, de voyage, à la découverte de ces vies ordinaires et lumineuses qui passent parfois sans fracas, Douze lunes à Madagascar est au carrefour de plusieurs genres qui se cristallisent pourtant autour d'un constat : Madagascar est un trésor.
Madagascar: L’histoire de la grande île

Découvrez à travers ce livre, l'histoire du Madagascar. Surnommée la Grande Ile pour sa superficie, elle est aussi grande pour sa position géographique jugée importante pour les navigateurs. "Entre toutes les terres lointaines, Madagascar compte parmi les pays dont on s’est occupé en France avec une sorte de prédilection. La grande île africaine a davantage attiré les regards par suite de circonstances exceptionnelles. La présence de populations d’origines très diverses, rapprochées ou mêlées sur un même point du globe, se trouvant reconnue, un nouvel élément a été fourni pour exciter l’intérêt qui s’attache à l’histoire de l’humanité. Madagascar a été le centre d’une création spéciale ; la grande île n’est sans doute que le débris d’un continent, vaste peut-être comme l’Australie, qui à une époque ancienne du monde dominait sur l’Océan indien..."
Madagascar

Madagascar appartient encore aux destinations à l’abri du tourisme de masse. Restée longtemps dans l’ombre, conséquence d’une politique en pleine mutation, ses infrastructures touristiques sont modestes, par endroits quasi inexistantes. Et c’est presque tant mieux, car la Grande Ile ne se consomme pas. Elle se vit, se découvre et s’explore au rythme lent de ses habitants, de ses pirogues à balancier et de ses pistes bourbeuses. Mais l’exubérance de sa forêt tropicale ou la sérénité toute asiatique de ses rizières en terrasses ne doivent pas tromper. Menacée de déforestation, l’île est devenue une priorité des organisations de protection de la nature afin de préserver, entre autres, l’extraordinaire diversité de sa faune et de sa flore. Demeurée secrète, Madagascar saura vous séduire. Le sourire, la gentillesse et l’authenticité des Malgaches ne s’achètent pas, et leur goût de la fête vous comblera.
Panorama sur madagascar: Pays d’avenir ou d’infortune

Pays d’avenir ou d’infortune Ce livre décrit la situation géographique et les ethnies qui peuplent l’île, avec la présentation du pays, du climat, de l’environnement, de l’économie. Il y a environ 1500 ans, cette île était vierge d’êtres humains. La question de son peuplement est abordée ici. Les groupes ethniques qui se sont constitués ont fondé une civilisation commune avec son identité religieuse, sa poésie, sa culture, sa langue tout en conservant l’originalité des traditions de 18 tribus. La culture sous ses divers aspects : l’histoire, celle des grands royaumes, la conquête coloniale, la colonie, l’indépendance et les régimes politiques qui se sont succédé. L’énigme que constitue ce pays dont les élites se partagent les richesses au lieu de les utiliser pour son développement, provoquant des crises politiques à intervalles réguliers.
Rêve de Madagascar

Dans un manuscrit laissé sous une stèle de Fort-Dauphin en 1653, Etienne de Flacourt met en garde les étrangers contre les autochtones de Madagascar en écrivant : " Prends garde, étranger. Ne fais pas confiance aux habitants de cette île, leurs flatteries réservent les plus grands dangers ". Le voyage que nous offre Philippe Aimar à travers la Grande Île dément fondamentalement cette mise en garde. Les photos nous montrent la confiance qui s'établit entre les modèles et le photographe et l'attachement que ce dernier porte à la Grande Ile et à ses habitants. Les résultats constatés se rapprochent de ceux obtenus par Jean Paulhan qui avait pris la peine, il y a près de 90 ans, de partager le quotidien des Malgaches, de différentes conditions, afin de saisir le sens profond des Hainteny. Ici le photographe a adopté la même démarche et nous présente une nature attachante et un peuple des plus accueillants avec beaucoup de réalisme. Fernand Léger n'a-t-il pas défini la qualité d'une oeuvre picturale en raison directe de sa quantité de réalisme. Mais, l'interprétation d'une photographie ne peut pas être considérée comme une valeur absolue, elle est le produit d'une subjectivité particulière du regardant. Quand l'ai compulsé l'album présenté par Philippe Aimar, c'est ma propre impression devant ces oeuvres d'une rare qualité que j'essaie de faire partager à ceux qui auront le privilège de se pencher sur ces images de la Grande Ile. Le photographe a su rendre l'atmosphère et la couleur de chaque région et tirer de l'individu les spécificités qui le particularisent tout en l'intégrant dans son groupe d'appartenance. Si nous regardons cette jeune femme de la page 36, avant même de lire la notation de bas de page, rien que par sa tenue et sa coiffe nous la situons d'emblée dans l'ethnie Betsileo. Il en est de même pour la plupart des portraits pris un peu partout dans l'île. Ce qui ne manquera pas de frapper la curiosité de ceux qui ouvrent ce livre est l'itinéraire suivi par le photographe. Au lieu de se précipiter sur les lieux touristiques connus, il nous entraîne dans un parcours inédit. Après une visite prégnante chez les Merina, les Ambaniandro (ceux qui sont sous le soleil) du haut plateau central, en ayant pris soin d'éviter les sites trop vus et revus - mais qu'ils ne néglige pourtant pas (on les perçoit à travers certaines photos) - en insistant parfois sur ce que le commun des autochtones ne remarque même plus, à force de les côtoyer quotidiennement. Ainsi en va-t-il des images devenues parties intégrantes du paysage, comme ces petits marchands des bords des routes ou ces joueurs de fanorona qui s'approprient une partie de la voie, ce qui nous plonge dans un exotisme bon enfant. Le photographe porte son appareil, non directement vers l'est ou vers le nord où sont les sites touristiques les plus fréquentés, mais vers le sud. Sur sa route, il nous fait entrevoir la beauté des environs de la capitale avec ses rizières, nous montre les étals des petits producteurs de charbon de bois qui préfigurent malheureusement la déforestation. Sa première étape dans le pays des Betsileo (nombreux invincibles) est l'Isalo. Il pré-sente en quelques photos ce qui dorénavant particularise la région : la recherche des pierres précieuses avec ce que cela implique de risque, d'effort quasi-inhumain et de misère dans l'espoir. II ne se prive pourtant pas de nous faire admirer le sourire d'une jeune Vezo (ceux qui pagaient). Et, son voyage reprend toujours vers le sud, comme si le photographe voulait se mettre sur les traces d'Etienne de Flacourt, mais il délaisse Fort-Dauphin, et s'oriente délibérément vers Tuléar, le pays des Bara (qui disent que la signification de leur nom est ceux qui ont la voix grave et sourde mais que les autres connaissent pour des simples d'esprit et des naïfs) pour nous faire appécier un crépuscule sur les dunes, là où la mer, la terre et le ciel majestueusement se confondent. Avec des paysages féériques, de jour comme de nuit, et, des Antandroy (ceux des ronces) rayonnants dans la simplicité de leur quotidien le photographe-pérégrin nous fait partager son émotion cette nature d'une beauté à couper le souffle. Mais là où l'on s'attendait à le voir continuer sa route vers Morondava, il marche sur le tropique du Capricorne et se retrouve sur la côte orientale de l'île les pieds dans l'eau du canal de Pangalane s'intéressant aux occupations aquatiques des Antaisaka (ceux de des longues vallées), des Antambahoaka (ceux du peuple) et des Betsimisaraka (nombreux qui ne se séparent pas). Toamasina est suggérée par une photo du lac sur le canal de Pangalane, puis nous voilà tout de suite au pays de la vanille et des Sakalava (ceux des longues vallées) au nord est de l'île, pour nous retrouver vers le nord face à l'île de Nossy-Bé devant des paysages grandioses d'une mer d'émeraude présentant les boutres comme des bijoux précieux et d'un ciel souvent bleu à la limite possible de la couleur. Cet ouvrage de Philippe Aimar ne doit pas être vu uniquement comme une présentation de la nature mais aussi comme une étude de l'homme malgache dans un essai chaleureux et subtil. Le photographe a mis dans son travail toute sa passion et son attachement pour l'île et ses habitants. Il propose une approche originale et vivante de la société malgache mettant en évidence un réseau d'affinités et d'échanges qui le relie à un monde qui le subjugue, l'intrigue et l'attache. Je dirais même une confrontation affective de deux visions du monde différentes avec ce que cela implique de subjectivité. Chapitre après chapitre nous faisons connaissance avec les différentes ethnies malgaches. Ce qui m'a aussi ému dans ce livre c'est l'objectivité du photographe. Il ne s'est pas contenté de montrer la beauté de l'Ile avec des gens heureux, mais il fait toucher du doigt le paradoxe de la beauté et de la misère en montrant comment les Malgaches acceptent leurs destins et que les gens pauvres ne sont pas toujours tristes. Qu'attend-on d'un livre de photographies si ce n'est de nous faire connaître un pays et de nous procurer du plaisir ? Les deux objectifs sont atteints dans ce livre de Philippe Aimar et je ne puis que souhaiter à tous ceux qui l'ouvriront le même plaisir et émotion que j'ai eus en le consultant.