Les 10 meilleurs livres de jacques Attali
Une brève histoire de l'avenir Nouvelle édition...

Jacques Attali raconte ici l’incroyable histoire des cinquante prochaines années telles qu’on peut les imaginer à partir de ce que l’on sait aujourd’hui de l’histoire et de la science. Il dévoile la façon dont vont évoluer les rapports entre les nations, dont les bouleversements démographiques, les mouvements de population, les mutations du travail, le terrorisme, la violence, les changements climatiques, l’emprise croissante du religieux vont affecter notre quotidien. Il montre enfin qu’il serait possible d’éliminer la pauvreté, de faire profiter chacun équitablement des bienfaits de la technologie et de préserver la liberté de ses propres excès comme de ses ennemis, de laisser aux générations à venir un environnement mieux protégé, de faire naître, à partir de toutes les sagesses du monde, de nouvelles façons de vivre et de créer ensemble.
Demain, qui gouvernera le monde ?

Mieux qu’une utopie : une nécessité. Demain, qui gouvernera le monde ? Les Etats-Unis ? La Chine ? L’Inde ? L’Europe ? Le G20 ? L’ONU ? Les multinationales ? Les mafias ? Quel pays, quelle coalition, quelles institution internationale aura les moyens de maîtriser les menaces écologiques, nucléaires, économiques, financières, sociales, politiques, militaires qui pèsent sur le monde ? Qui saura valoriser les formidables potentialités de toutes les cultures ? Faut-il laisser le pouvoir sur le monde aux religions ? Aux empires ? Aux marchés ? Ou bien faut-il le rendre aux nations en refermant les frontières ? Un jour l’humanité comprendra qu’elle a tout à gagner à se rassembler autour d’un gouvernement démocratique du monde, dépassant les intérêts des nations les plus puissantes, protégeant l’identité de chaque civilisation et gérant au mieux les intérêts de l’humanité. Un tel gouvernement existera un jour. Après un désastre, ou à sa place. Il est urgent d’oser y penser, pour le meilleur du monde.
L'économie de la vie: Se préparer à ce qui...

« Après une enquête planétaire, auprès des meilleures sources, souvent confidentielles, j’ai découvert bien des choses sur les causes et les conséquences de cette pandémie. Certains dirigeants, commettant des erreurs sincères ou mentant à leur peuple, ont, en imitant la Chine, conduit à la mort prématurée de plusieurs centaines de milliers de personnes et coûté plusieurs milliers de milliards à l’économie mondiale. Suivre à temps l’autre voie, celle de la Corée du Sud, aurait coûté beaucoup moins d’argent, épargné des milliers de vies et protégé des centaines de millions de travailleurs. De tout cela, et de bien d’autres choses que nous aura apprises cette pandémie, en bouleversant nos vies, il faut tirer les leçons. Pour se préparer à ce qui vient : une crise économique, philosophique, idéologique, sociale, politique, écologique stupéfiante, presque inimaginable ; plus grave en tout cas qu’aucune autre depuis deux siècles. Pour ne pas faire souffrir les enfants d’aujourd’hui de la pandémie à 10 ans, de la dictature à 20 ans et du désastre climatique à 30 ans, il faut passer au plus vite de l’économie de la survie à l’économie de la vie. Elle regroupe tous les secteurs qui se donnent pour mission la défense de la vie et dont on constate tous les jours, très pragmatiquement, l’importance vitale, comme : la santé, la gestion des déchets, la distribution d’eau, le sport, l’alimentation, l’agriculture, l’éducation, l’énergie propre, le numérique, le logement, la culture, l’assurance. Parce qu’il n’y a pas de vie possible si on n’agit pas tout de suite, dans l’intérêt de toutes les vies, d’aujourd’hui et du futur. Si on ne comprend pas que seul le temps des hommes a de la valeur. Que de passionnants combats à mener ! » J. A.
Sept Leçons de vie Survivre aux crises

La crise actuelle se terminera un jour, laissant derrière elle d’innombrables victimes et quelques rares vainqueurs. Pourtant, il serait possible à chacun de nous d’en sortir dès maintenant en bien meilleur état que nous n’y sommes entrés. À condition d’en comprendre la logique et le cours, de se servir de connaissances nouvelles accumulées en maints domaines, de ne compter que sur soi, de se prendre au sérieux […]. Mon propos n’est donc pas ici d’exposer un programme politique pour résoudre cette crise et toutes celles qui viendront, ni de vagues généralités moralisantes, mais de suggérer des stratégies précises et concrètes permettant à chacun de « chercher des fissures dans l’infortune », de se faufiler entre les écueils à venir, sans s’en remettre à d’autres pour survivre, pour sur-vivre. Et d’abord pour survivre à la crise actuelle. J. A.
Les Juifs, le monde et l'argent

Voici l’histoire des rapports du peuple juif avec le monde et l’argent. Je sais ce que ce sujet a de sulfureux. Il a déclenché tant de polémiques, entraîné tant de massacres qu’il est devenu comme un tabou à n’évoquer sous aucun prétexte, de peur de réveiller quelque catastrophe immémoriale. Aujourd’hui, plus personne n’ose écrire sur ce sujet ; comme si des siècles d’études n’avaient servi qu’à nourrir des autodafés. En décidant de raconter cette histoire, on pourrait laisser croire qu’il existe un peuple juif uni, riche et puissant, placé sous un commandement centralisé, en charge de mettre en œuvre une stratégie de pouvoir mondial par l’argent. On rejoindrait par là des fantasmes qui ont traversé tous les siècles, de Trajan à Constantin, de Matthieu à Luther, de Marlowe à Voltaire, des
Vivement après demain

Quand les incapables qui gouvernent les États et gèrent les marchés ne pourront plus masquer les enjeux importants derrière de fausses urgences, quand on aura tant emprunté aux générations suivantes pour financer le superflu des plus riches qu’elles seront assez enragées pour se venger, quand la violence du climat rejoindra celle des armes pour nourrir le désespoir des chômeurs et des déclassés, alors des révolutions auront lieu. Le moment approche : une crise économique, financière, écologique, politique, se met en place qui pourrait bientôt balayer notre civilisation. Et pourtant, notre monde a tant de moyens de s’en sortir ! Tant de ressources humaines, morales, culturelles, technologiques qui ne demandent qu’à s’exprimer, au service du bien. Encore faudrait-il avoir le courage d’affronter maintenant tous les enjeux et se décider, enfin, à ne pas reporter sur les générations futures le paiement des turpitudes du présent. Qui osera ?
Devenir soi

« Dans un monde aujourd’hui insupportable et qui, bientôt, le sera bien plus encore, il est temps pour chacun de se prendre en main, sans attendre indéfiniment des solutions miraculeuses. Il ne s’agit pas de résistance, ni de résilience. Mais de devenir soi. De Gandhi à Steve Jobs, de Bouddha à Picasso, ils sont nombreux, ceux qui se sont libérés des déterminismes et des idéologies, pour choisir leur destin et changer le monde.Aujourd’hui, mille trajectoires humaines, célèbres ou anonymes, donnent le signal d’une nouvelle Renaissance. Toutes incitent à réfléchir au chemin que chacun peut emprunter, pour choisir et réussir sa vie.Où que vous soyez, qui que vous soyez, agissez comme si rien ne vous était impossible.Ayez le courage d’agir. Prenez le pouvoir sur votre vie ! »J. A.
Faire réussir la France: 30 réformes majeures et 250...

Quelle France dans 10, 20, 50 ans ? Qu’est-ce que chacun de nous peut faire pour qu’elle soit, bien plus encore qu’aujourd’hui, un pays où ses habitants sont heureux, libres, paisibles, confiants, tolérants, pour que la France soit prospère, fière de son identité, ouverte au monde et donnant sa chance à chacun de ses habitants ? Pour y réfléchir, nous n’attendons pas grand-chose d’une campagne présidentielle qui s’annonce une fois de plus comme une confrontation de personnalités et non comme un débat sur des programmes et encore moins des projets. Surtout, il n’appartiendra pas seulement au prochain président de la République de mettre en œuvre ces réformes, mais à chacun de nous. Aussi, nous, citoyens de bonne volonté, nourris de nos expériences les plus diverses, avons auditionné plus de 400 personnalités, parmi les plus qualifiées du pays, dans de très nombreux domaines. Nous en avons déduit 250 actions urgentes, parmi lesquelles 30 réformes majeures, en particulier dans le domaine de l’enfance, qui structure tous les autres. L’heure est à une mobilisation générale. Pour éviter le pire. Pour construire le meilleur. Ce livre vise à ouvrir ce débat, pour que réussisse la France.
Le virus et le Président: Enquête sur l’une des...

Début 2020, le virus de la Covid-19 se propage rapidement dans tous les pays du monde. Mais pas partout de la même façon… Il semble exister une exception « Française d’Origine Contrôlée par l’Union Européenne », dont l’acronyme laisse entrevoir la façon dont le gouvernement traite cette pandémie. Dans les couloirs de l’Élysée et de Matignon, les dirigeants de groupes terroristes ont ainsi cédé la place au virus. Nostalgie de son ancien boulot à la Rothschild & Compagnie, dans lequel Emmanuel Macron s’efforçait, selon son propos, de «
Histoires des médias: Des signaux de fumée aux réseaux...

« Depuis toujours, l’homme a besoin de savoir ce qui le menace, ce qui nuit aux autres ou les sert. Et pendant longtemps, seule une poignée de puissants, souverains, religieux, marchands, ont eu le monopole de l’information, de sa fabrication à sa circulation. Une information libre, diffusée par des médias accessibles à tous et établie par des professionnels cherchant la vérité est le fruit d’une histoire récente, inattendue, fascinante. Et elle est à présent terriblement menacée. Comment distinguer le vrai du faux, l’information de la distraction ? Quel rapport entre informer, convaincre, enseigner, distraire ? Comment la démocratie résistera-t-elle aux formes de censure et de surveillance ? En quoi le déluge actuel et à venir d’informations, vraies ou fausses, influera-t-il sur notre façon de gérer les grands problèmes d’aujourd’hui et de demain ? Les réseaux sociaux, outils de surveillance généralisée, qui font de chacun le journaliste de lui-même, seront-ils balayés par une vague technologique plus puissante ? Les journalistes seront-ils remplacés par des automates ou resteront-ils des acteurs irremplaçables de la démocratie ? Tels sont les sujets de ce livre. Encore une fois, comme pour tous les autres domaines dont j’ai tenté jusqu’ici de prévoir le devenir, celui des médias, vertigineux, ne peut être imaginé et maîtrisé qu’en remontant très loin dans son histoire, ou plutôt ses histoires. Ses passionnantes histoires. » J. A.